viernes, 2 de junio de 2017

GRAVISIMO PERO NO INESPERADO - LE FUTUR DE L'HUMANITE EN DANGER

Una decisión peligrosa que pone en riesgo el futuro de la humanidad

PARA LA NACION
VIERNES 02 DE JUNIO DE 2017
                            Voir aussi texte français 



    Ici de source Le Monde comme corolaire de la décision américaine:

   

Après les réactions d’indignation vient le temps de la concertation. Au lendemain de la décision de Donald Trump de retirer les Etats-Unis de l’accord de Paris, l’Union européenne (UE) et la Chine ont annoncé vendredi 2 juin à Bruxelles qu’elles allaient intensifier leur coopération en matière de lutte contre le changement climatique.

« Aujourd’hui, nous accroissons notre coopération sur le changement climatique avec la Chine », a annoncé le président du Conseil européen, Donald Tusk, à l’issue d’un sommet annuel entre Bruxelles et Pékin. « Aujourd’hui, la Chine et l’Europe ont montré leur solidarité avec les générations futures et leur responsabilité envers la planète entière », a-t-il insisté.
La Chine et l’Union européenne ont toutefois échoué à publier une déclaration conjointe sur le climat, en raison de divergences persistantes sur les questions commerciales, a expliqué à l’Agence France-Presse une source européenne. Les Européens refusent d’accorder le « statut d’économie de marché » à Pékin, qu’ils accusent de dumping.
  • L’UE et la Chine vont accroître leur coopération
Dès l’ouverture d’un sommet entre l’UE et la Chine vendredi matin à Bruxelles, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avait dessiné les contours d’un nouveau moteur pour la « diplomatie climat »« Notre partenariat aujourd’hui est plus important que jamais », a assuré M. Juncker. Et la lutte contre le changement climatique, « plus importante aujourd’hui qu’hier », a lancé le chef de l’exécutif européen en guise d’introduction.
L’UE s’est dite prête à porter le flambeau, « à montrer la voie », selon l’expression du commissaire européen chargée de l’action pour le climat et négociateur à Paris, Miguel Arias Cañete. La Chine, de son côté, est prête à « chérir le résultat chèrement gagné » à Paris, et à prendre des mesures concrètes pour permettre la mise en œuvre de l’accord.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/06/02/retrait-americain-de-l-accord-de-paris-l-ue-et-la-chine-vont-accroitre-leur-cooperation_5138059_3244.html#sGLB1GrAfy9LYwTU.99







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Aunque conociendo el comportamiento de la administración de George W. Bush y la trayectoria de buena parte del Partido Republicano frente a los problemas ambientales, esta situación no sorprende. Trump, comprometido con una visión anacrónica del desarrollo y del conocimiento, dio un paso que daña la credibilidad de un gran país y pone en riesgo el futuro de toda la humanidad.La negación de la realidad triunfa sobre la razón. La negación de unos pocos parece imponerse sobre la sensatez de muchos. Pasó lo que siete meses atrás parecía imposible: que una administración a cargo del gobierno federal de Estados Unidos diera marcha atrás con el compromiso internacional asumido a favor del clima, del cuidado del ambiente y del cuidado de cada uno de nosotros.

Bien qu'en connaissant le comportement de l'administration de George W. Bush et la trajectoire de bonne partie du Parti Républicain face aux problèmes environnementaux, cette situation ne surprend pas. Trump, compromis avec une vision anachronique du développement et de la connaissance, a donné un pas qui abîme  la crédibilité d'un grand pays et met en risque l'avenir de toute l'humanité. La négation de la réalité triomphe sur la raison. La négation de certains semble s'imposer sur la sagesse de plusieurs. Il s'est passé ce que sept mois avant  semblait impossible : que l'administration du gouvernement fédéral des États-Unis donnât marche arrière à propos de l'engagement international assumé en faveur du Climat, du soin de l'atmosphère et du soin de chacun de nous.
La comunidad científica mundial ya demostró que los procesos del cambio de clima tienen su origen en las actividades humanas. No se trata del futuro: ya está pasando. Inundaciones, sequías, tormentas severas, propagación de enfermedades y hambre son algunas de las situaciones que ya padece todo el mundo. Observaciones y modelos matemáticos confirman sin dudas que la causa está en sistemas de desarrollo insostenibles, inequitativos y dispendiosos.


La communauté scientifique mondiale a déjà démontré que les processus du changement climatique trouvent son l'origine dans les activités humaines. Il ne s'agit pas de l'avenir : il passe déjà. Des inondations, des sécheresses, des orages sévères, une propagation de ;aladies et de faim sont certains, ce sont des situations que tout le monde souffre déjà. Des observations et des modèles mathématiques confirment sans laiser de doutes que la cause est dans des systèmes insoutenables, inégalitaires et dispendieux de développement.
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El conocimiento ambiental y social actual demuestra que hoy debemos considerar al ambiente, la sociedad y la economía los tres ejes fuertemente interrelacionados sobre los que se construye la búsqueda del bien común. El desarrollo no sólo debe ser sostenible, sino también integral.

La connaissance environnementale et sociale actuelle démontre qu'aujourd'hui nous devons considérer l'atmosphère, la société et l'économie les trois axes forts mis en relation, sur lesquels est construite la recherche du bien commun. Le développement ne doit non seulement être durable, mais aussi intégrale.

Hace 50 o 60 años se podían llegar a defender estos sistemas ante un insuficiente conocimiento científico. Pero los diversos problemas ambientales, desde la crisis del biocida DDT pasando por la contaminación del agua, suelos y la atmósfera, empujaron el avance del conocimiento y la implementación de legislación local, nacional e internacional necesaria para paliar las consecuencias de graves errores socioeconómicos, buscando caminos de acuerdo internacionales para el desarrollo sostenible.

 Il y a 50 ou 60 ans on pouvaient arriver à défendre ces systèmes devant une connaissance scientifique insuffisante.  

Mais les divers problèmes environnementaux, depuis la crise du biocide DDT, en passant par la contamination de l'eau, des sols et l'atmosphère, ont poussé la connaissance en avant et l'implémentation de la législation locale, nationale et internationale nécessaire pour pallier les conséquences de graves erreurs socio-économiques, en cherchant des chemins internationaux d'accord pour le développement durable.

Los países y las empresas deben asumir compromisos de reducción de emisiones de gases de efecto invernadero aún mayores que los comprometidos a la fecha para contener el calentamiento global por debajo de los 2°C. La decisión de la administración Trump, aislacionista y populista, pone una carga mayor e injusta sobre el resto de la sociedad mundial, los múltiples sectores económicos y también el ambiente.La decisión de la administración Trump pone en riesgo el futuro del Acuerdo de París. Es mucho más grave sobre todo si consideramos que ese acuerdo es sólo el inicio para evitar lo peor del deterioro del sistema climático.

Les pays et les entreprises doivent assumer des engagements de réduction d'émissions de gaz effet de serre encore plus grands que les compromis d'aujourd'hui, pour contenir le chauffage global au-dessous d'eux 2°C. La décision de l'administration Trump, isolationniste et populiste, met une charge plus grande et injuste sur le reste de la société mondiale, les secteurs économiques et aussi sur l'atmosphère terrestre. La décision de l'administration Trump met à un risque l'avenir de l'Accord de Paris. Elle est beaucoup plus grave surtout si nous considérons que cet accord est seullement le commencement pour éviter le pire de la détérioration du système climatique.
El autor es investigador principal del CONICET (Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas) / Universidad Tecnológica Nacional (Argentina)

L'auteur est enquêteur principal du CONICET  (Conseil National des Recherches Scientifiques et Techniques) / et aussi membre de l'Université Technologique Nationale (Argentine)

lunes, 29 de mayo de 2017

La renegociación del NAFTA (TCLAN) y la relacion de MEXICO y la ARGENTINA

Siguiendo con una parte del comentario anterior, en lo referido a la influencia que la renegociación del NAFTA (TCLAN) tiene en cuanto a oportunidad para la Argentina, y teniendo en cuenta los varios e importantes contactos que se han producido al respecto, parece interesante acercarles lo que el INTAL nos trae al respecto.

Importa señalar que, según lo acordado en la II Ronda a la que hace mención el artículo aquí reproducido, en el próximo mes de julio de 2017 tendrá lugar el intercambio de listas de productos de interés de Argentina y México, respectivamente. Para ello el gobierno argentino ha iniciado consultas con las entidades empresarias que están interesadas en esta renegociación.

Si la memoria no me es infiel, creo que hace aproximadamente una década que nuestros dos países no tenían reuniones tan importantes en lo tocante al acuerdo bilateral. Nos  tocó participar en aquella oportunidad en los encuentros empresarios y oficiales realizados en México D.F. Todo parece indicar que las actuales rondas son tanto o más importantes. Sin duda lo es la meta de elevar el nivel del acuerdo en función de la dirección en que se ha movido el comercio internacional desde entonces, inclusive en nuestra región de América.


Mauricio López Dardaine


FUENTE: CONEXION INTAL

Argentina y México buscan profundizar sus acuerdos vigentes

By Federico Mazzella Abril, 2017
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Redactor: Carlos D’Elía
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El Subsecretario de Comercio Exterior de México valora las negociaciones en curso con Argentina.
En el marco de la segunda ronda de negociaciones del Acuerdo de Complementación Económica entre Argentina y México, ACE 6, el 18 de abril se realizó en Buenos Aires una reunión organizada por la Cámara de Comercio Argentina Mexicana (CCAM) que contó con una exposición del Subsecretario de Comercio Exterior de México, Juan Carlos Baker Pineda, quien estuvo acompañado de su equipo de trabajo. La primera ronda de negociaciones tuvo lugar en noviembre de 2016, en la Ciudad de México.

El funcionario mexicano destacó la necesidad de ampliar y profundizar el ACE 6, que se encuentra vigente desde 1987, para así contar con un acuerdo de última generación que permita consolidar la relación comercial. Según refirió, apenas 38% del comercio bilateral actual se realiza bajo los esquemas del ACE 6.
Resaltó también el gran impulso que en los últimos doce meses le vienen dando a las relaciones bilaterales las diversas visitas de funcionarios de alto rango, con la certeza de que “Argentina y México tienen que estar más cerca”.

Otro acuerdo que involucra a ambos países es el ACE 55 que regula el comercio automotor entre el MERCOSUR y México. Al respecto, Baker Pineda señaló que la expectativa de México es regresar al libre comercio en el sector automotor, dejando de lado los cupos vigentes.

¿Qué quiere decir la profundización del acuerdo?

En primer lugar, comprende los aspectos arancelarios, donde algunas de las preferencias aún son parciales, ya que no alcanzan el 100%. Con relación a la renegociación de las preferencias sostuvo que primero se debe identificar lo que se está comerciando y en qué niveles de preferencia, para luego ir más allá y profundizar los vínculos comerciales.

Adicionalmente, la profundización involucra la inclusión de productos que no están incorporados en el acuerdo. Cabe notar que, además del comercio bilateral que actualmente no está cubierto por ninguno de los dos acuerdos, México pretende incorporar el universo automotor a este paquete de negociación.

La profundización pasa también por incluir otras disciplinas. Si se quiere modernizar el acuerdo de forma tal que refleje la ambición y la capacidad exportadora de ambos países, entonces se deben incorporar disciplinas que acompañen los acuerdos arancelarios: Aranceles + Disciplinas.
¿Cuáles son esas disciplinas? Plataformas electrónicas, obstáculos técnicos al comercio (OTC), medidas sanitarias y fitosanitarias, y propiedad intelectual.

Baker Pineda comentó que los objetivos que se plantearon las autoridades argentinas y mexicanas para esta segunda ronda de negociaciones son, en primer lugar, “identificar en cada tema dónde estamos, cuáles son las expectativas que tiene cada parte y llegar a textos consolidados que lo reflejen”. En segundo lugar, empezar a “definir los parámetros” sobre los que se abordará la negociación de los productos, por ejemplo, cuáles son los plazos, los sectores incluidos y los excluidos, y cuáles son las preferencias.
Mencionó que México tiene abiertos varios frentes de negociación: Argentina, Brasil, Unión Europea y Asia; en particular destacó las negociaciones con Japón para profundizar el acuerdo bilateral vigente desde 2005.

Se refirió también a las relaciones con Estados Unidos. En ese sentido, sostuvo que México está convencido que el Tratado de Libre Comercio de América del Norte (TLCAN) ha beneficiado a todos los países, a partir del nivel de comercio que se generó gracias a la eliminación de las barreras arancelarias. Sin duda, México está dispuesto a discutir cómo hacer frente a prácticas de comercio desleal que otros países realizan, cómo incorporar plataformas digitales al TLCAN, o incorporar disposiciones sobre las empresas del estado, entre otros aspectos que puedan aportar a una agenda de discusión positiva que construya sobre lo ya logrado.

El TLCAN se ha convertido en un bien nacional y en una fuente que brinda certidumbre, previsibilidad y preparación, en el sentido que permite a todos los productores y empresarios mexicanos conocer cuáles son las condiciones de acceso al mercado con el cual México tiene un acuerdo.
Reconoció que parte del atractivo de México es ser una plataforma abierta al comercio internacional, que data de hace más de tres décadas, por lo que el camino a recorrer será continuar en ese mismo sentido. Al respecto, señaló que están buscando más plataformas donde poder integrarse, más fuentes donde poder colocar sus productos, pero también de donde puedan conseguir parte de lo que necesitan. De ahí, la racionalidad de volver a encontrar oportunidades, como las existentes con Argentina.

El comercio entre Argentina y México es relativamente bajo (US$ 2.300 millones) y viene descendiendo. Sin embargo, existen grandes oportunidades para ambos países. El propósito es terminar todo el proceso de negociaciones hacia fines de 2017 o principios de 2018. ¿Hasta dónde se llegará? “De eso dependerá la negociación, pero la ambición de avanzar está en ambas partes”. Indicó que el nivel de ambición de las disciplinas debe ser semejante al arancelario.

Destacó la participación de lo que usualmente se denomina el “cuarto de al lado”, en referencia a los empresarios que acompañan en las negociaciones que lleva adelante México. Las consultas técnicas al sector privado permiten conocer con mayor detalle las necesidades propias de cada sector y enriquecen el proceso negociador que llevan adelante los funcionarios públicos.

Por último, sostuvo que Argentina y México, desde sus respectivos lugares geográficos, tienen la gran oportunidad de ejercer un liderazgo considerando los espacios y oportunidades que se están presentando en distintas partes del mundo. Destacó la activa agenda que tiene Argentina por delante y el entusiasmo que esta genera en México.

lunes, 22 de mayo de 2017

El Brexit en un contexto inquietante - Brexit: feuille de route - La renegociación del NAFTA primer paso formal

El Brexit en un contexto inquietante


Me parece interesante incorporar este comentario recibido por parte de una asidua lectora amiga de este blog:

"En lo personal considero que estamos frente a importantes cambios a nivel internacional, que marcaran las características de este siglo XXI con respecto al anterior. Ello, en especial se verá reflejado en las instituciones globales, ya que las presentes fueron configuradas en el siglo XX y se muestran obsoletas para enfrentar los nuevos desafíos que se plantean en la actualidad. En ese marco es que incluyo el fenómeno del Brexit cuyo hecho, evalúo,  sorprendió tanto a los propios británicos como  demás integrantes de la UE. La forma en que se resuelva será un hito a imitar, o no, por el resto de los organismos   internacionales y regionales. Lo que queda claro es que es un hecho que marcará un hito, es decir un antes y un después en el devenir de los acontecimientos."

Como hombres de empresa, como profesionales y a la vez como ciudadanos de una Argentina  que se va reconectando con el mundo –reconexión puntalizada, por ejemplo, por la gira presidencial a China y Japón, luego de la visita a Holanda, del contacto con Donald Trump en Washington- nos convendría emplear unos minutos, olvidando las tan promocionadas “polémicas” que adoran adornar los periodistas (políticas, gremiales, televisivas, futbolísticas), para ver qué otras cosas están pasando en el mundo.
La salida del Reino Unido de la Unión Europea es un hecho de enorme trascendencia, puesto que la Unión Europea es el modelo más exitoso de Integración, así con mayúscula, de los tiempos modernos. Que pueda mantenerse la cohesión de los  27 y que Gran Bretaña pueda salir adelante sin tropiezos de marca mayor, será un test cuyas consecuencias -positivas y negativas- tendrán gravitación en el futuro de la Integración en el mundo.
Cuando Donald Trump acaba de trazar una línea roja entre “amigos” y “enemigos” en Medio Oriente, intentando redefinir a puro voluntarismo el mapa del polvorín de esa región, cuando el principal país de Sud América sigue adentrándose en su pantano de delaciones cruzadas, el peso de una Europa unida que logre negociar con el Reino Unido sin llegar a convertir el Brexit en un estallido, es de una importancia no desdeñable.
Otra crucial cuestión en la cual la Europa de los 27 tiene un liderazgo claro es la lucha contra el Cambio Climático, donde China aspira a liderar también ante el manifiesto “clima-escepticismo” de Donald Trump.
Por eso su cohesión frente a la negociación del Brexit tiene tanta importancia.
Por estas razones he querido traducir este buen análisis de Le Monde.

Mauricio López Dardaine

Brexit : que contient la feuille de route des ministres des Vingt-Sept ?
Les ministres chargés des affaires européennes ont approuvé, lundi à Bruxelles, le mandat accordé à la Commission européenne afin de mener le Brexit à son terme.


SOURCE: LE MONDE | 22.05.2017 
Par service international

Brexit: ¿qué contiene la hoja de ruta de los ministros de los Veintisiete?

Los ministros encargados de negocios europeos aprobaron este lunes, en Bruselas, el mandato otorgado a la Comisión Europea con el fin de llevar a  término el Brexit.


C’est une étape avant la négociation des modalités du divorce, censée débuter après les élections législatives britanniques du 8 juin, si possible dans la semaine du 19 juin : les ministres chargés des affaires européennes ont approuvé, lundi 22 mai, à Bruxelles, le mandat accordé à la Commission européenne afin de mener le Brexit à son terme. Cette feuille de route s’inspire des grands principes de négociation approuvés, le 29 avril, par les chefs d’Etat et de gouvernement des Vingt-Sept, en l’absence du Royaume-Uni.

Es una etapa anterior a la negociación de las modalidades para el divorcio, que está prevista para tener su inicio después de la elecciones legislativas británicas del 8 de junio, si es posible en la semana del 19 de junio: los ministros encargados de negocios europeos aprobaron, el lunes 22 de mayo, en Bruselas, el mandato otorgado a la Comisión Europea para llevar a término el Brexit. Esta hoja de ruta se inspira en los principios de negociación aprobados, el 29 de abril, por los jefes de estado y de gobierno de los Veintisiete, en ausencia del Reino Unido.

Les modalités financières du divorce

Le texte adopté lundi fournit les éléments détaillés nécessaires pour mener la première phase des négociations, suivant la démarche en deux temps privilégiée par les dirigeants des 27 Etats membres. Il indique ainsi que la seconde phase des négociations – celle portant sur les contours du futur partenariat entre l’UE et le Royaume-Uni post-Brexit – ne pourra débuter qu’après « des progrès substantiels » concernant le divorce en tant que tel, en particulier la conclusion d’un accord sur les modalités financières de la séparation.
Pour solde de tout compte, les Européens réclament quelque 60 milliards d’euros aux Britanniques. Il s’agit d’après eux de régler les engagements pris par le Royaume-Uni dans le cadre du budget européen. Mais le gouvernement de Theresa May conteste l’ampleur de la facture.

Las modalidades financieras del divorcio

El texto adoptado el lunes provee  los elementos detallados necesarios para llevar adelante la primera fase de las negociaciones, siguiendo el trámite en dos tiempos elegido por los dirigentes de los 27 Estados Miembros. Indica además que la segunda fase de las negociaciones -aquélla referida a los límites del futuro partenariat  entre la Unión Europea y el Reino Unido post-Brexit- no podrá iniciarse sino luego “de [lograrse] progresos substanciales” respecto del divorcio en sí, en particular en lo referido a la concertación de un acuerdo sobre las modalidades financieras de la separación.

Como saldo de cuenta los europeos reclaman unos 60 mil millones de euros a los británicos. Según ellos, se trata de liquidar los compromisos contraídos por el Reino Unido en el marco del presupuesto europeo. Pero el gobierno de Theresa May impugna la amplitud de esta cuenta.

Préserver les droits des citoyens
Le mandat fixe deux autres priorités. La première concerne la préservation du statut et des droits des citoyens pour les ressortissants européens installés au Royaume‑Uni et les Britanniques résidents dans l’un des pays de l’UE. Plus de quatre millions de personnes sont ainsi concernées, dont 3,2 millions d’Européens au Royaume-Uni, qui craignent de devenir otages des pourparlers.
La première ministre britannique n’a jusqu’ici donné aucune garantie dans ce domaine, alors que les « Brexiters » ont promis tout au long de la campagne référendaire de limiter l’arrivée des migrants européens. Du côté du continent, il s’agit au contraire de protéger le choix de résider et de travailler d’un côté ou de l’autre de la Manche, tout en préservant l’accès aux droits sociaux (assurance santé, chômage, retraite, etc.) liés à cette résidence.

Preservar los derechos de los ciudadanos

El mandato fija dos otras prioridades. La primera concierne la preservación del status y los derechos del ciudadano para los europeos instalados en el Reino Unido y para los británicos residentes en uno de los países de la UE. Esto concierne a más de cuatro millones de personas, de las cuales hay 3, 2 millones de europeos en el Reino Unido, que temen convertirse en rehenes de las negociaciones.

La primera ministra británica no ha dado hasta aquí ninguna garantía en ese ámbito, mientras que los “brexiters” han prometido todo a lo largo de la campaña del referéndum  limitar la llegada de migrantes europeos. Del lado del continente, se trata, al contrario, de proteger el derecho de elección de residencia y de lugar de trabajo de uno u otro lado del Canal de la Mancha, también preservando el acceso a los derechos sociales (seguro de salud, desempleo, jubilación, etc.) ligados a dicha residencia.

La situation de Irlande du Nord

Les Vingt-Sept mettent par ailleurs l’accent sur la situation de l’Irlande du Nord, qui voit sa stabilité être menacée par la sortie du Royaume-Uni de l’UE. Signés en 1998, les accords de paix qui ont mis fin aux conflits communautaires sont placés sous la supervision de l’Union européenne. Après le Brexit, la crainte est d’assister à la mise en place d’une frontière, préjudiciable aux échanges, entre le nord et le sud de l’île. Afin de rassurer les Irlandais, Michel Barnier, négociateur en chef de l’Union européenne pour le Brexit, s’est rendu à Dublin au début du mois. Une façon de conforter la cohésion des Vingt-Sept face à Londres.

La situación de Irlanda del Norte

Los Veintisiete ponen además el énfasis en la situación de Irlanda del Norte, que ve su estabilidad amenazada por la salida del Reino Unido de la UE. Firmados en 1998, los acuerdos de paz que pusieron fin a los conflictos comunitarios están puestos bajo la supervisión de la Unión Europea. Después del Brexit, el temor es el de asistir al trazado de una frontera, perjudicial para el intercambio entre el norte y el sur de la isla. Con el objetivo de tranquilizar a los irlandeses, Michel Barnier, negociador en  jefe de la UE para el Brexit, fue a Dublin a principios de este mes. Una manera de reforzar la cohesión de los Veintisiete frente a Londres.

Le calendrier

Si tout se passe comme prévu, le Royaume-Uni cessera d’être membre de l’Union au plus tard le 29 mars 2019 à minuit, comme le mandat donné à la Commission le précise, soit deux ans jour pour jour après l’enclenchement de la procédure de sortie. Ce délai est précisé dans les traités européens.
Cependant, les capitales européennes pourront décider, à l’unanimité, de prolonger les tractations de deux ans, si aucun accord à l’amiable n’est signé d’ici là. Les deux parties craignent par dessus tout un échec des négociations de divorce, qui représenterait, selon l’expression consacrée à Londres, « un saut du haut de la falaise ».

El calendario

Si todo se desarrolla como previsto, el Reino Unido dejará de ser miembro de la Unión Europea -como muy tarde- a medianoche del 29 de marzo de 2019, como precisa el mandato otorgado a la Comisión Europea, sea en dos años exactamente luego del inicio del procedimiento de salida. Este detalle está bien precisado en los tratados europeos.

No obstante ello, las capitales europeas podrán decidir, por unanimidad, prolongar las tratativas por dos años, si ningún acuerdo en buenos términos se lograra  firmar de aquí a entonces.


Ambas partes temen más que nada un fracaso de las negociaciones de divorcio, lo que representaría, según la expresión consagrada en Londres: “un salto desde lo alto del acantilado”.


En el viejo mundo el Brexit, en el nuevo 



mundo la renegociación del NAFTA con 



México y Canadá



No podemos decir que a nadie haya sorprendido la decisión de avanzar formalmente con la renegociación del NAFTA por parte de la administración de Donald Trump.

Lo que sí está claro es que esta cuestión tiene efectos indirectos muy concretos para la Argentina y para el Mercosur. Efectos que se han manifestado aún antes que la administración estadounidense diese este primer paso a través de la Oficina Ejecutiva al notificar al Congreso, el 18 de mayo, la intención presidencial de renegociar el NAFTA con México y con el Canadá.

Las consecuencias han sido las reuniones en torno al acuerdo ACE N° 6 de la ALADI, entre la Argentina y México, más el renovado interés del Canadá con respecto a avanzar en un acuerdo con el Mercosur.

Ahora bien, estos avances se verán sin duda potenciados para la Argentina y México por la referida comunicación de la Oficina Ejecutiva del 18 de mayo, pero posiblemente enturbiados -en el caso del Mercosur-  por los acontecimientos que vive el Brasil. Al respecto pensamos que será muy importante la decisión que tome el Superior Tribunal Electoral brasileño respecto de la “chapa” Dilma Rousseff - Michel Temer, como dicen en Brasil, es decir respecto de la lista donde se presentó en su momento el tándem de Presidente y Vice que triunfó en las últimas elecciones presidenciales del país vecino. Esto debería ocurrir el próximo 6 de junio.

Pero como la crisis va en crescendo, es imposible decir cuál será en última instancia la salida. Todo parecería indicar que Temer tiene mucho menos tiempo del que había pensado. La historia, en general, nos dice que esto ocurre de esta manera cuando se resquebraja la gobernabilidad. 

Los acontecimientos de ayer y de hoy quitan certeza respecto a que el Superior Tribunal Electoral llegue a tiempo. No obstante  las fuerzas políticas brasileñas lo siguen considerando (hasta hoy 25 de mayo) la opción más viable para salir de la crisis.

Estos cambios, al nivel de las decisiones estratégicas, hace que oportunidades y riesgos deban ser evaluados casi sin solución de continuidad. Esto vale también para las acciones que han tomado y toman los gobiernos del Reino Unido y de los Estados Unidos, con respecto de las alianzas político-económicas forjadas tiempo atrás.


Mauricio López Dardaine


Source: Bridges ICTSD

ON NAFTA

...US Trade Representative (USTR) Robert Lighthizer notified Congress last week of the planned renegotiation of the North American Free Trade Agreement (NAFTA), kicking off a 90-day period before talks with Canada and Mexico can formally begin.
The new US trade chief had spent his first few days in office consulting with key lawmakers, including the Senate Finance Committee and House Ways and Means Committee, in preparation for the notification.
According to the USTR’s official letter, which was addressed to top legislators in both congressional chambers, the purpose of the talks is “to support higher-paying jobs in the United States and to grow the US economy by improving US opportunities under NAFTA.”
Among the areas that Washington would like to see in an updated NAFTA include “intellectual property rights, regulatory practices, state-owned enterprises, services, customs procedures, sanitary and phytosanitary measures, labour, environment, and small and medium enterprises.” 
Overall, the current administration has repeatedly said that NAFTA should be upgraded to reflect the shifts seen in the regional and global trading landscape since the trade deal entered into force more than two decades ago. NAFTA has been in effect since January 1994.
The North American trade deal “has been relatively successful for Americans across several sectors, including agriculture, investment services, and energy,” said Lighthizer, according to comments reported by Politico.
“However, other sectors like manufacturing – particularly with regards to Mexico – have fallen behind,” he added.