martes, 30 de diciembre de 2014

Oil again - Pétrole - Algérie & OPEP & Argelia - Petroleo

Oil prices have altered geo-politics the world over. Oil prices have had this power and the weight of Saudi Arabia has always been felt, especially since the oil crisis in the seventies. At that time, all major companies, whether directly linked to oil or not, were forced to reconsider their short, medium and long range plans. In fact, planning as such had to be readapted to a world which had changed for ever. Planners were baffled and so were governments.

What we face today is having a similar effect. Plans and budgets are in shambles. The Algerian plea [here bellow] is a dramatic example.

What we can do, from the modest scope of our blog is to monitor the moves and, to a very limited extent, try to anticipate some the consequences, especially with regard to our main concerns: Climate Change, Trade and Sustainable Development.

                                                       Mauricio López Dardaine



Pétrole : l'Algérie demande à l'Opep d'enrayer la chute des cours
ENERGIE
La fiscalité pétrolière représente 60% du budget de l'Etat algérien. 

Source : latribune.fr  le  28/12/2014
SUR LE MÊME SUJET
Le ministre algérien de l'Energie a demandé à l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dont son pays est membre, de réduire sa production pour enrayer la chute des cours, dans des propos cités dimanche par l'agence APS. "L'Opep doit intervenir pour corriger les déséquilibres en procédant à une coupe de sa production afin de faire remonter les prix et de défendre les revenus de ses pays membres", a déclaré Youcef Yousfi, dont le pays tire 95% de ses recettes extérieures de la vente de pétrole et de gaz.
L'Opep refuse jusqu'ici de réduire sa production
L'Arabie Saoudite, chef de file du cartel, et d'autres gros producteurs avaient prévenu la semaine dernière que l'Opep ne réduirait pas sa production même si les prix du brut tombaient à 20 dollars le baril. Youcef Yousfi a expliqué que l'Algérie ne partageait pas cette prise de position des principaux producteurs, qui craignent notamment qu'une réduction par l'Opep de sa production profite aux pays producteurs non membres du cartel. Les cours du pétrole ont perdu plus de la moitié de leur valeur depuis la mi-juin, passant de 115 dollars le baril à 55 sous l'effet conjugué de l'abondance de l'offre, du renforcement du dollar et de la faiblesse de la demande dans un contexte de ralentissement de l'économie mondiale.
La fiscalité pétrolière représente 60% du budget de l'Etat algérien
En Algérie, où la fiscalité pétrolière contribue pour 60% au budget de l'Etat, l'effondrement des cours du pétrole a contraint le gouvernement à adopter un premier train de mesures d'austérité, comme le gel du recrutement de fonctionnaires. Selon Youcef Yousfi, les prix du pétrole pourraient évoluer entre 60 et 70 dollars en 2015 avec une possibilité d'augmenter durant le quatrième trimestre et d'atteindre les 80 dollars en 2016.

Argelia pide a la OPEP que reduzca su producción para que suba el petróleo

La Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP) debe reducir la producción para que aumenten los precios y de esa forma defender los ingresos de sus integrantes, declaró el ministro argelino de Energía.

"La OPEP debe intervenir para corregir los desequilibrios procediendo a un corte de su producción para hacer subir los precios y defender los ingresos de sus miembros", dijo Yucef Yusfi, en declaraciones citadas por la agencia de prensa APS.

Argelia, país miembro de la OPEP, obtiene 95% de sus ingresos externos de las exportaciones de petróleo y gas.

La declaración argelina tiene lugar después de que Arabia Saudita, principal productor de la OPEP, anunciara la semana pasada que no iba a reducir su producción, incluso si el barril de petróleo se cotizaba a 20 dólares.


s

lunes, 29 de diciembre de 2014

À mes lecteurs francophones

C'est à mes lecteurs francophones à qui j'aimerais m'adresser sur le seuil de la fin de l'année. Pour des raisons que j'ignore vos visites ont augmenté énormément ce mois de décembre 2014.

Une des raisons, peut-être, est celle de la petite proportion d'articles en français vis-à-vis de ceux en anglais visant le Changement Climatique et le lien entre Commerce et Changement Climatique, un des leitmotivs de notre blog du moment de son lancement, en septembre 2012.

De n'importe lequel point de vue, il est clair que le monde sur lequel nous allons nous pencher le 5 janvier 2015, les toasts finis, sera très différent. La glissade des cours du pétrole est en train de changer, au moins temporairement, la géopolitique mondiale.

La situation des perdants, la Rusie, l'Iran et le Vénézuela n'aura pas un effet neutre sur la géopolitique, voire les affaires de ce monde globalisé. Pour les Amériques, ce longuement attendu principe d'accord entre les États-Unis et le Cuba, aura des effets qu'il n'est pas encore facile d'évaluer dans sa totalité, mais que l'on peut imaginer bienfaisants.

La baise du prix du pétrole, sera-t-elle un obstacle pour le développement des énergies "propres" ? Cette glissade des cours aura telle un effet sur la consommation de carburants ? Équivalent à une augmentation d'émissions des gazes effet de serre ? Voilà des questions que nous allons adresser d'ici quelques jours.

                             Je vous souhaite une Bonne Année 2015 !

                                                        Maurice López Dardaine

                                         Le 29 décembre 2014

sábado, 27 de diciembre de 2014

While we celebrate

                                 While we celebrate

While we celebrate our world is changing. The abrupt drop in oil prices is having unforseen consequences. Something very few, or maybe even no one, envisaged a short time ago. Analyst are now discussing whether this price drop has been carefully engineered or whether it came as the result of a number of causes converging to create the fall.

Independently of the how, the oil price drop is causing a swift alteration in world geopolitics. Among the temporary losers Rusia, Iran and Venezuela are having a rough time. The way they are adapting to the changes will have a bearing on politics and business. Options become more limited and budgets are to be trimmed in order to adapt to the new situation.

After two years of secret negotiations between the US and Cuba, the oil price drop sets the ideal scenario for a long awaited agreement, or the beginning of a long awaited agreement.

For our Latin America, this is probably one of the resulting events that is bound to have a strong bearing on future politics and also on future business trends.

For those of us who concern ourselves with Climate Change and a fair Sustainable Development, the picture is still not crystal clear. Will oil prices drop affect the development of clean energy? Is the political willingness to curb Global Warming shown by China and the US strong enough not to be altered by the new World Scenario? The US and China appear to be among the winners of this temporary shift in geopolitics. So, maybe, Global Warming will not suffer. But this "conclusion" is  in the field of surmise, at least for the time being.

What we may probably say with less chances of being proved wrong is that when New Year celebrations are over, we will be looking at a world that has changed beyong anything we expected could happen in such short a period.

                  Our best wishes to you all, faithful readers,
                        of a very Happy New Year 2015!

 
                                Mauricio López Dardaine


     

sábado, 20 de diciembre de 2014

Noël Xmas & Navidad

Agradeciendo

A mis estimados lectores de habla hispana no les había dado aún las gracias por su paciente seguimiento, pues a los que forman parte de nuestro  núcleo les había mandado un mensaje vía e-mail. Pero me doy cuenta que hay también quienes acceden por otros caminos. A ellos mis más fervientes deseos de una Navidad en Paz.

Mauricio López Dardaine


Remerciements
Face à une année 2015 qui se présente pleine de surprises, cette pause nécessaire de Nöel nous donne un répit pour reprendre des forces et méditer calmement.
C'est alors que je profite aussi pour vous remercier de votre fidélité en vous souhaitant un très heureux Noël,
Mauricio López Dardaine

Saying thank you
Time to thank you, faithful readers of our blog, and wish you a Merry Xmas.
We need this time to gather strength, when looking at 2015, a coming year full of dark clouds but also of new and exiting challenges.
Best wishes to you all,
Mauricio López Dardaine

miércoles, 17 de diciembre de 2014

Los precios del petróleo y su caída - Oil prices plunge & LA & China

Todo lo que hay que saber sobre la caída del crudo y cómo influye

Why oil is down by half, what it means for you



 

 

En las cercanías del cierre de un año por demás movido -ni que hablar para nosotros  atribulados argentinos- un año en que hemos dedicado no pocas páginas de este blog a comentar las peripecias de los ciudadanos del Planeta Tierra enfrentados al Calentamiento Global, algo que ya muy pocos discuten que se debe a nuestro comportamiento irresponsable como emisores de gases de efecto invernadero, parece importante aportar algo escrito en lenguaje claro sobre el precio del petróleo. Su abrupta caída está convulsionando todos los mercados mundiales. Está haciendo crujir los presupuestos de importantes países productores como Irán, Irak, Rusia y Venezuela. En la Argentina está hoy ya muy claro que afectará positivamente lo que es importación de crudo, y no necesariamente en igual medida lo que sea importación de gas. Y muy negativamente las perspectivas que había hasta hace poco de explotación de los yacimientos no convencionales como Vaca Muerta. Además el impacto de esta caída sobre otras materias primas que exportamos puede llevarnos a un cuello de botella en nuestra única cuenta con saldo positivo, la de la balanza comercial. Vale entonces la pena leer lo que Jonathan Fahey comenta al respecto. En este caso la traducción al español no es nuestra sino de Jaime Arrambide para La Nación.

Un poco más tarde nos ha parecido oportuno completar nuestro panorama, no muy halagüeño en la cercanía de las Fiestas, con un interesante artículo (en inglés) publicado hoy en el New York Times sobre la influencia que el freno económico en China está teniendo sobre las economías de América Latina, inclusive las de México, Argentina y Brasil.

For English speaking readers, bellow this Spanish version we have printed the English original of the article dealing with Oil Prices.

Mauricio López Dardaine


El Mundo
Por Jonathan Fahey  | AP
Fuente: La Nación
 
  NUEVA YORK.- El precio del petróleo cayó a casi la mitad en apenas seis meses, un derrumbe sorprendente y pronunciado que festejan los consumidores, lloran los productores petroleros -sobre todo Rusia, cuya moneda está al borde del colapso- y les quita el sueño a los economistas, que no logran desentrañar si es bueno o malo que esto ocurra.
El precio del barril de crudo está por debajo de los 56 dólares, después de haber alcanzado un pico de 107 dólares a mitad de año, y se ubica en su precio más bajo desde que Estados Unidos todavía estaba en recesión, en mayo de 2009. ¿Qué está pasando? Que para bien o para mal, un desequilibrio global entre la oferta y la demanda está recorriendo la economía del mundo.
  • Boom de la oferta: los largos años con precios altos del petróleo, interrumpidos brevemente por la recesión, impulsaron a las empresas perforadoras de todo el mundo a explorar la corteza terrestre en busca de crudo. Y lo encontraron.
Desde 2008, por ejemplo, las empresas de Estados Unidos incrementaron su producción en un 70%, a raíz de 3,5 millones de barriles diarios. Para poner ese dato en perspectiva, basta recordar que ese incremento representa, por sí sólo, más que la producción de cualquier país miembro de la Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP), excepto Arabia Saudita.
Mientras escalaba la producción en Estados Unidos, el caos en Medio Oriente y África del Norte redujo el suministro proveniente de Libia, Irán y otros países. Así se llegó a un equilibrio. El incremento del suministro de países fuera de la OPEP y la industria de recuperación de petróleo de Irak ayudaron a cubrir la creciente demanda mundial, mientras decaía el flujo de la OPEP.
Pero ahora ese flujo de crudo de la OPEP parece garantizado a pesar del caos, y la oferta de petróleo de países fuera de la organización inundó el mercado. La semana pasada, la OPEP estimó que el año próximo el mundo necesitará unos 28,9 millones de barriles de crudo diario de la producción de sus países miembros, la cantidad más baja en más de una década. Al mismo tiempo, los países de la OPEP planean producir 30 millones de barriles de petróleo diarios durante el año que viene. Esa sobreoferta es la que está hundiendo el precio del crudo en todo el mundo.
  • La demanda cae: se espera que la demanda mundial siga aumentando el año que viene, pero mucho menos de lo que la mayoría creía a principios de este año. Las economías de China, Japón y Europa Occidental -los mayores consumidores, después de Estados Unidos- parecen estar debilitándose. Y cuando el crecimiento económico se estanca, la demanda de petróleo cae.
Estados Unidos sigue siendo el mayor consumidor mundial de petróleo, pero los autos más eficientes y los cambios demográficos hacen que la demanda de nafta y otros combustibles no crezca. El Departamento de Energía norteamericano predice una leve disminución de la demanda de nafta para el año que viene, por más que el precio sea sensiblemente más bajo y que la economía crezca, tal como se espera.
  • Consumidores felices: para los conductores, los transportistas, las aerolíneas y otros consumidores de combustible, no hay más que motivos de festejo en esta baja del petróleo.
El precio promedio de la nafta en Estados Unidos bajó durante 81 días corridos hasta alcanzar los 0,67 dólares el litro, el precio más bajo desde octubre de 2009. Así, el precio de la nafta se ubica muy por debajo de su máximo de este año, lo que implica un ahorro de 100 dólares mensuales para los hogares norteamericanos, ya abocados a las compras navideñas. "Siempre es buena noticia que la nafta baje", dijo Randy Daniels, de 30, mientras hacía sus compras en el Lenox Square Mall de Atlanta. "Es mucho lo que se puede hacer con 30 o 40 dólares más en el bolsillo."
Los precios de la nafta diésel y del combustible para aviones también se hundieron, impulsando las ganancias y el precio de las acciones de aerolíneas y navieras. El combustible para calefacción está en su precio más bajo en cuatro años, reduciendo el gasto hogareño justo a tiempo para enfrentar el crudo invierno.
  • Economistas preocupados: la baja en el precio de los combustibles actúa como una reducción impositiva que alienta el consumo, que a su vez representa un 70% de la economía de Estados Unidos. Pero los economistas temen que haya otras fuerzas en juego, más preocupantes.
La profunda caída del crudo podría ser señal de que la economía mundial atraviesa más dificultades de las que creen los economistas. Una economía global débil afectaría a la economía norteamericana reduciendo sus exportaciones, su empleo y su gasto público, perjuicios que superarían los beneficios de contar con combustible barato.
  • El dolor de los productores: para las empresas petroleras y los países exportadores, el derrumbe del precio del crudo llega como un mazazo. Por lo general, las petroleras extraen crudo de pozos que ya han perforado, pero la baja del precio reduce bruscamente sus ingresos y los fuerza a recortar los gastos de los nuevos proyectos de exploración. La semana pasada, BP anunció que intentaría recortar 1000 millones de dólares de sus gastos del año próximo, una medida que, según los analistas, podría resultar en la pérdida de miles de puestos de trabajo.
Los estados norteamericanos que dependen de las regalías de la producción de energía, como Alaska, Dakota del Norte, Oklahoma y Texas, verán reducirse sus ingresos, y algunos ya han anunciado recortes.
Los mayores exportadores de crudo, como Irán, Irak, Rusia y Venezuela, dependen fuertemente de los ingresos de sus petroleras estatales para gobernar sus países, y ahora enfrentan feroces recortes de sus presupuestos. El Bank of America estima que por cada dólar que se deprecia el crudo mundial, Venezuela pierde 770 millones de dólares de ingresos anuales. Los precios están 47 dólares por debajo del promedio de 2013, lo que implica que a este paso Venezuela verá reducidos sus ingresos en 36.000 millones de dólares.
Traducción de Jaime Arrambide

Why oil is down by half, what it means for you

 Dec. 15, 2014
Source: AP


NEW YORK (AP) — The price of oil has fallen by nearly half in just six months, a surprising and steep plunge that has consumers cheering, producers howling and economists wringing their hands over whether this is a good or bad thing.
The price of a barrel of oil is just under $56, down from a summer high of $107, and lower than at any time since the U.S. was still in recession in the spring of 2009.
So what's going on? A global imbalance of supply and demand that is rippling across the world economy, for better and worse.
SUPPLIES GO BOOM
Years of high oil prices, interrupted briefly by the recession, inspired drillers around the world to scour the earth's crust for more oil.
They found it.
Since 2008 oil companies in the U.S., for example, have increased production by 70 percent, or 3.5 million barrels of oil per day. To put that in perspective, that increase alone is more than the production of any OPEC member other than Saudi Arabia.
As U.S. production was ramping up, turmoil in the Middle East and North Africa reduced supplies from Libya, Iran and elsewhere. A balance was struck: Increasing supplies from outside of OPEC and from Iraq's recovering oil industry helped meet rising demand around the world as other OPEC supplies waivered.
But now those OPEC supplies look more certain despite continuing turmoil, and those non-OPEC supplies have swamped the market. OPEC estimated last week that the world would need 28.9 million barrels of its oil per day next year, the lowest in more than a decade. At the same time, OPEC countries plan to produce 30 million barrels of oil per day next year. That supply surplus is sending global prices lower.
DEMAND GOES BUST
Global demand is still expected to grow next year, but by far less than many thought earlier this year. The economies of China, Japan and Western Europe — the top oil consumers after the United States — all appear to be weakening. Oil demand falls when economic growth stalls.
The U.S. is still the world's largest consumer, but more fuel-efficient cars and changing demographics mean demand for oil and gasoline is not increasing. The Energy Department predicts a slight decrease in gasoline demand next year even though the price is expected to be sharply lower and the economy is expected to grow.
THE HAPPY CONSUMERS
For drivers, shippers, airlines and other consumers of fuel, there's nothing not to like about the drop in oil prices.
The national average gasoline price has fallen for 81 straight days to $2.55 a gallon, its lowest level since October of 2009, according to AAA. It's $1.15 a gallon cheaper than its high for the year, saving U.S. households $100 a month as they shop for holiday presents. "Any time gas prices go down that is a good thing," said Randy Daniels, 30, who was shopping recently at the Lenox Square Mall in Atlanta. "An extra 20 or 30 bucks in my pocket goes far."
Diesel and jet fuel prices have also plunged, helping boost the profits and share prices of airlines and shippers. Heating oil is the cheapest it has been in four years, reducing home heating prices just in time for winter for many in the chilly Northeast.
THE WORRIED ECONOMISTS
Falling fuel prices act like a tax cut and help boost consumer spending, which in turn accounts for 70 percent of the U.S. economy. But economists are growing concerned that there are other, more troublesome forces at play.
The depth of oil's plunge could be a signal that the global economy is struggling even more than economists think. A weak global economy could hurt the U.S. economy by reducing exports, employment and spending, which together could outweigh the economic benefits of cheaper fuel.
THE PRODUCERS' PAIN
For oil companies, oil-producing states, and oil-exporting countries, the oil price collapse is painful.
Oil companies generally keep producing oil from wells they've already drilled, but lower prices sharply reduce revenue and force them to cut back spending on new exploration projects. BP announced last week it would try to trim $1 billion in spending next year in a move that analysts say could result in thousands of job cuts.
States that rely on taxes from energy production such as Alaska, North Dakota, Oklahoma and Texas will see lower revenues and some have already had to trim budgets.
Major oil exporters such as Iran, Iraq, Russia and Venezuela rely heavily on revenues from state-owned oil companies to run their governments and are struggling under major budget shortfalls. For example, Bank of America estimates that every $1 drop in the global price of oil costs Venezuela $770 million in annual revenue. Current prices are now $47 below last year's average, putting the country on pace for a $36 billion reduction in revenue.
***************************************************************************
Few people are as intensely worried about the slowing Chinese economy as Latin Americans
Source: The New York Times
By Eduardo Porter

SANTIAGO, Chile — Few people are as intensely worried about the slowing Chinese economy as Latin Americans.
Not only does China buy nearly 40 percent of Chile’s copper, but its once-insatiable demand helped push copper prices from $1 to $4 a pound.
Meanwhile, Beijing plowed billions into Peruvian mines and fisheries and spent billions more buying soybeans from Argentina and Brazil. And it propped up the Venezuelan government to the tune of $50 billion in loans, to be paid in shipments of oil.
China’s voracious hunger for Latin America’s raw materials fueled the region’s most prosperous decade since the 1970s. It filled government coffers and helped halve the region’s poverty rate.
That era is over. For policy makers gathered here last week for the International Monetary Fund’s conference on challenges to Latin America’s prosperity, there seemed to be no more clear and present danger than China’s slowdown.
“The commodity boom allowed governments and companies to avoid hard choices,” Andrés Velasco, Chile’s finance minister from 2006 to 2010, told me. “For goodness’ sake even Argentina grew by 5 to 6 percent per year for almost a decade.”
Riding China
China’s insatiable demand for raw materials brought greater prosperity to Latin America. But it also stunted the region’s industrial development.
Copper is back under $3. As commodity prices continue to swoon, driven in large part by China’s weaker demand, the going will get much tougher.
That’s especially true of the major oil exporters, clobbered by a collapse in oil prices driven by faltering global demand and increased supplies from the United States and elsewhere.
Venezuela, notably, is in free fall. The I.M.F. expects the Venezuelan economy to contract both this year and next. And it has been forced to limit its promised oil shipments to China, in effect defaulting on its Chinese debt.
But the commodity decline isn’t sparing many. “Growth in Latin America should move back to pre-commodity boom rates,” said Alejandro Werner, who leads the Western hemisphere division at the I.M.F. Indeed, the fund expects the region to grow barely 1.3 percent in 2014, a third of its pace just three years ago.
The bust underlines how Latin American economies have failed to overcome the existential weakness that has plagued them throughout history: a dependence on raw materials that has shackled the region’s development to an incessant sequence of booms and busts.
From Brazil and Argentina in the southern tip of the region to Mexico in the north, officials across Latin America fretted for years that China undermined their decades-long efforts to build the manufacturing industries that, they hoped, would provide a ticket into the developed world.
Not only did China’s cheap labor outcompete Latin American industry and draw the lion’s share of global manufacturing investment, but its appetite for Latin America’s minerals, oil and agricultural products also raised the value of currencies around the region, making their manufactured goods even less competitive.
Manufacturing’s share in Latin America’s economic output has declined steadily for more than a decade, ever since China inserted itself aggressively into the global economy by entering the World Trade Organization.
At the same time, the share of raw materials in Latin America’s exports, which had fallen to a low of 27 percent in the late 1990s, from about 52 percent in the early 1980s, surged back to more than 50 percent on the eve of the global financial crisis.
China’s footprint on Latin America is contributing to what the Harvard development expert Dani Rodrik would call its “premature de-industrialization,” shutting off the standard path of economic development followed by pretty much everybody since the industrial revolution.
Mr. Velasco, 54, recalled when a 23-year-old student in Antofagasta asked him what the Chilean government would do with the nation’s copper riches. By the time the student was his age, Mr. Velasco responded, Chile would have no more copper.
“The question,” he said, “isn’t what should we do with copper but what will we do without it.”
China’s diplomats emphasize that it is a developing country, not an advanced, “imperialist” power like the United States or the European colonial powers who ruled for centuries and served as the first foreign exploiters of Latin America’s mineral wealth. To many in Latin America, the difference hardly seems relevant.
Take San Juan de Marcona, a remote village on the edge of the Pacific Ocean in the Nazca region of Peru. Built in the 1950s to house workers at the vast open-top American-owned iron mine, the town no longer houses managers from the United States. In the 1970s, General Juan Velasco Alvarado, then Peru’s military dictator, pushed them out.
Today, Marcona’s managers come from Shougang, of China, which bought it from the Peruvian government in the 1990s.
“A growing China was very important to bring Peru along in the last 10 years,” said Cynthia Sanborn, who leads the Research Center at the Universidad del Pacífico in Lima.
North of Marcona, Chinalco built a town to relocate 5,000 inhabitants of Morococha, where it will blast open a copper mine. This year, China’s MMG, Guoxin International Investment and Citic Metal bought the Las Bambas copper mine from the Anglo-Swiss conglomerate Glencore.
Chinese companies are interested not only in raw materials but also in vast public works to transport the raw materials, including rail links across Brazil and a proposed $50 billion, 171-mile canal across Nicaragua.
In 2010, Chinese lending to Latin America roughly equaled that of the World Bank, the Inter-American Development Bank and the United States Ex-Im Bank combined. (It has since slowed.) Carmen Reinhardt of Harvard forecasts that China could become Latin America’s main source of financing.
Perhaps Latin America should just count its blessings. “The concerns of dependency are there, but if China weren’t there, Peru would be seeking other markets for its minerals,” he told me.
Mr. Werner of the I.M.F. argues that the case for deindustrialization is overblown. “From a medium-term perspective, China is a plus, plus, plus for Latin America,” he said.
In agriculture, for instance, exports to China are leading to lots of innovation and efficiency improvements. Demand for Brazil and Argentina’s soy — a principal source of animal feed — is unlikely to wane as the Chinese become richer and eat more meat.
 

domingo, 14 de diciembre de 2014

CC COP 20 déjà vu?

Climat : la conférence de Lima se solde par un accord à minima

Source : Le Monde.fr | 14.12.2014

                                          


A partir de Copenhague tenemos año tras año esa sensación, o esa certeza si queremos ser más duros, que no existen líderes en nuestro Planeta Azul capaces de tomar decisiones con respecto a ese futuro que se nos está escurriendo entre los dedos. ¡Qué poco duraron las promesas formuladas por China y los Estados Unidos hace tan pocas semanas!

Aquí el análisis de Le Monde y La Nación de hoy.

                          Mauricio López Dardaine


Les négociateurs du climat avaient le choix entre la sécurité d'une route balisée et les risques d'un chemin cabossé. C'est la deuxième voie qu'ils ont choisi d'emprunter pour préparer la Conférence de Paris, en décembre 2015, où il est prévu de signer le premier accord mondial engageant pays industrialisés et pays en développement dans une action commune contre le réchauffement climatique.

Le compromis auquel sont parvenus les 195 Etats membres de la convention des Nations unies sur le changement climatique, dimanche 14 décembre à Lima, après deux semaines de tractations et près de trente-six heures de prolongation, n'est pas celui auquel on pouvait s'attendre après l'élan suscité par le sommet des chefs d'Etat organisé par le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, à New York en septembre, et l'accord bilatéral entre les Etats-Unis et la Chine quelques semaines plus tard.

LA CONFIANCE N'EST TOUJOURS PAS LÀ

« Les gouvernements à Lima ont fait le strict minimum pour garder le processus de négociations multilatéral en vie, mais ils n'ont pas fait assez pour convaincre que le monde est prêt à adopter un accord sur le climat ambitieux et équitable l'an prochain à Paris », a déploré Mary Robinson, envoyée spéciale des Nations Unies pour le climat. L'objectif de l'accord en discussion depuis 2011 doit permettre de limiter la hausse des températures à 2° C d'ici à la fin du siècle, seuil jugé dangereux par les scientifiques du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur le climat).
Dimanche, la France, qui endossera la présidence des négociations à partir de janvier, a fait bonne figure. Mais la faiblesse des textes adoptés à Lima complique sa tâche, et démontre que derrière les effets d'estrade, la confiance, au fond, n'est toujours pas là. Le ministre de l'environnement de Singapour, Vivian Balakristan, après avoir tenté de jouer les médiateurs pendant près de neuf heures, n'a pu échapper à ce constat : « Nous partageons tous le sens de l'urgence [à agir contre le réchauffement], mais nous n'avons pas confiance les uns dans les autres », a-t-il reconnu en séance plénière samedi matin, avant que la séance ne soit à nouveau suspendue pour un nouveau round de consultations.
Un compromis a donc été finalement trouvé. Pour cela, les Etats-Unis ont dû admettre que l'adaptation au changement climatique ne pouvait être traitée comme une question de second ordre. Les pays moins avancés ou les petites îles dont les émissions de gaz à effet de serre sont négligeables ont mis en avant le coût que représente déjà pour eux la nécessité de faire face aux impacts du réchauffement. Au détriment des investissements dans leur développement et la lutte contre la pauvreté.

PROMESSE NON TENUE

Dans cette bataille, la Chine, comme les autres pays émergents, ont fait front uni avec les autres pays en développement. L'alliance avec les Etats-Unis a trouvé ses limites dans l'arène des négociations climatiques, où Pékin conserve comme priorité d'afficher sa solidarité avec les plus vulnérables.
L'enjeu s'est cristallisé sur la définition des contributions nationales que devront remettre les Etats d'ici au mois de mars, « pour ceux qui le peuvent ». Entièrement tournée vers les efforts de réduction des émissions de CO2, leur définition a dû être rééquilibrée pour donner satisfaction aux pays du sud. Le principe d'« une responsabilité commune, mais différenciée », gage d'un traitement distinct pour les pays en développement, a été réaffirmé.
Une « synthèse » de ces efforts d'atténuation aura lieu en novembre, soit très tard et sans qu'un mécanisme d'évaluation n'ait pu être adopté. La Chine s'y est durement opposée. Autant dire que la « corde de rappel » sur laquelle certains comptaient pour demander aux pays de faire davantage se dérobe. Le texte stipule cependant que les propositions mises sur la table représentent « un progrès supplémentaire » par rapport aux politiques déjà engagées.
Si la capitalisation du Fonds vert pour le climat, à hauteur de 10,2 milliards de dollars, reste la bonne nouvelle de ces deux dernières semaines, elle ne masque pas le fait qu'aucune réponse n'a été donnée sur la façon de parvenir à rassembler les 100 milliards de dollars d'aide annuelle annoncée lors de la conférence de Copenhague en 2009. Cinq ans après, cette promesse non tenue continue d'alimenter la défiance des pays en développement.

UN RÉCHAUFFEMENT COMPRIS ENTRE 3° C ET 4° C

De même, la question des efforts supplémentaires de réduction d'émissions d'ici à 2020, c'est-à-dire avant que n'entre en vigueur le futur accord, ne trouve aucune réponse concrète. Le fossé entre la croissance actuelle des émissions mondiales, qui conduit vers un réchauffement compris entre 3° C et 4° C, et la trajectoire qu'il faudrait retrouver, a été évaluée à 10 milliards de tonnes d'équivalent-CO2. par les Nations unies.
La rédaction du brouillon du futur accord de Paris, dont on pouvait imaginer qu'elle concentrerait les affrontements, n'a finalement pas été un véritable lieu de bataille. Un texte de 37 pages a été adopté. Il laisse ouvertes toutes les options. Les plus ambitieuses, comme celle consistant à se fixer pour objectif de parvenir à un bilan mondial des émissions de gaz à effet de serre neutre d'ici à la fin du siècle. Comme les plus minimalistes.
C'est à partir de tout cela que les Français, avec le secrétariat de la convention sur le climat, vont devoir construire la route vers Paris. Les négociations reprendront en février à Genève pour ne plus vraiment s'arrêter jusqu'à l'échéance de décembre 2015. Les diplomates, qui ont l'habitude des soubresauts de ce processus, se remettront de ce nouvel épisode chaotique. Le texte qui a été adopté permet d'avancer pour peu que la volonté politique existe. Or, c'est elle qui est interrogée par l'épisode péruvien.

Quelle est la volonté réelle derrière les déclarations faites par les chefs d'Etat à New York en septembre ? Après Lima, les 400 000 personnes qui ont défilé dans les rues de la ville américaine pour réclamer de l'action et une « justice climatique » ont de nouvelles raisons de douter.

Cambio climático

Cumbre del clima: un débil acuerdo en Lima reflotó las trabadas negociaciones

Fuente:    | LA NACION


LIMA (De un Enviado Especial).- Después de extenderse por casi un día y medio, la XX Conferencia Mundial de Cambio Climático (COP20) organizada por la ONU acordó esta madrugada en Lima un formato de reducción de emisiones de gases de efecto invernadero que deben asumir todos los países para sellar en 2015 un acuerdo contra el calentamiento global.
La cumbre selló a último momento lo que no pudo lograr durante las dos semanas de debate previo, al verse enfrentada a un inminente fracaso. Las propuestas, cuyo objetivo último es limitar el calentamiento global a un máximo de dos grados Celsius, servirán ahora de base para la conferencia que se celebrará en París a finales del año próximo para aprobar un acuerdo que sustituya al Protocolo de Kyoto de 1997.
Tras maratónicas jornadas de deliberaciones por diferencias entre los países desarrollados y en desarrollo, la COP20 que debía concluir el viernes logró un acuerdo sobre el texto que debe servir de base a un histórico pacto global el año próximo en París.


"Damos por aprobado el documento. Con sacrificio conseguimos nuestro objetivo ", dijo el ministro de Ambiente peruano y presidente de la COP20, Manuel Pulgar Vidal, tras someter la propuesta a consulta del pleno de 194 países y no recibir objeciones.
Después de dos semanas de negociaciones, la cumbre climática concluyó con un texto denominado "La llamada a la Acción de Lima", en el que se fija que todos los países tienen que presentar a la ONU, antes del 1 de octubre de 2015, compromisos "cuantificables" de reducción de gases de efecto invernadero de una manera "clara, transparente y entendible por todos".
Esos compromisos deben ser "ambiciosos" y "justos de acuerdo a las circunstancias nacionales" y deben ir acompañados de información detallada de las acciones qué va a desarrollar cada país para que esa disminución de emisiones se cumpla.
En una rueda de prensa, el ministro peruano del Ambiente dijo que los compromisos que presenten los países van a mostrar "si hay brechas o no" y de haberlas "cuál es su magnitud", al señalar que permitirán avanzar en la vía hacia "el análisis de las emisiones".

"He escuchado a cada uno de los grupos y tengo la absoluta seguridad de que con el texto que hemos decidido hoy, todos ganamos", precisó Pulgar Vidal.
La secretaria de la Convención de Cambio Climático de la ONU, Christiana Figueres, destacó que el documento adoptado dice claramente que "la adaptación y la mitigación deben estar juntas en pie de igualdad".
Figueres resaltó también que se ha dado un nuevo "entendimiento de las responsabilidades comunes aunque diferenciadas" que ha sido uno de los temas más difíciles en los debates, y que tiene que ver con la responsabilidad histórica innegable de los países industrializados que son los que más contaminan.

Acuerdo débil

Analistas, críticos y varias organizaciones ecologistas hablaron sobre la vaguedad de "un texto peligrosamente débil", logrado en Lima. ""Los negociadores han logrado poner el bote en el agua, en las costas de Lima y sin que se hunda. Pero habrá aguas turbulentas hasta llegar París", afirmó metafóricamente Winnie Byanyima, director ejecutivo de la ONG humanitaria Oxfam Internacional.
Se trata de un borrador de propuestas para el nuevo pacto sobre el clima a firmarse en 2015. Los países fijan allí los requisitos para que todos presenten sus compromisos individuales para luchar contra el calentamiento global.
El texto elaborado en Lima, de 37 páginas, arroja más preguntas que respuestas, porque propone diversas opciones no vinculantes para las delegaciones presentes en Lima y que apenas constituyen una primera base de negociación para París.
Las propuestas para los objetivos de reducción de emisiones son bastante laxas. Se aspiraba a conseguir criterios comparables que permitieran medir los esfuerzos de cada país, pero no se consiguió pues las promesas son voluntarias. Cada nación tiene ahora que presentar sus compromisos de reducción de emisiones durante el año con el objetivo último de limitar el calentamiento de la Tierra a un máximo de dos grados Celsius.
Según los estudios de la ONU, para conseguirlo habría que reducir las emisiones de gases de efecto invernadero entre un 40 y un 70 por ciento hasta 2050 y a casi cero hasta finales del siglo.
Por su parte, el Fondo Mundial para la Naturaleza (WWF) criticó que los gobiernos fracasaran a la hora de acordar planes claros de reducción de emisiones antes de 2020. El nuevo acuerdo sobre clima entrará en vigor ese año, pero es necesario hacer algo antes, porque hay récord de emisiones desde hace años, se quejó la organización.

Grandes contaminantes

China, junto a Estados Unidos el mayor generador de gases de efecto invernadero, se convirtió en una piedra en el camino porque, pese a su reciente compromiso de reducir los gases, no ha sido preciso en cuanto a cantidades y se ha negado a que observadores internacionales supervisen ese proceso.
La India, también convertida en importante emisor de gases, se ha sumado a la contracorriente, pues no solo se niega a dar aportes económicos para la lucha contra el cambio climático sino que, en su condición de país en desarrollo, la que también reclama China, pide ser beneficiario.
China y Estados Unidos con 9,8 y 5,2 millones de toneladas métricas de dióxido de carbono al año son los mayores generadores de gases, seguidos por Japón (1,9 millones), la India (1,9), Rusia (1,7) y Brasil (1,5), según las Naciones Unidas.

En el plenario, algunos países africanos, árabes y latinoamericanos acusaron a las naciones industrializadas de no querer reflejar en los documentos las grandes diferencias entre las responsabilidades y los derivados compromisos que les corresponden a cada uno.
Este grupo de emergentes y países en desarrollo cree que los países ricos tienen la obligación por su papel histórico de financiar la adaptación de las naciones de menores ingresos al cambio climático y no quieren ver perjudicado su crecimiento económico a causa de unas promesas de reducción de gases demasiado estrictas.
Finalmente se aprobó el aporte de 10.000 millones de dólares al Fondo Verde para el Clima, establecido por Naciones Unidas para asistir a los países en desarrollo a afrontar el cambio climático. Pero sigue siendo un misterio de dónde saldrán los 100.000 millones prometidos hasta 2020.
Manuel Pulgar Vidal, el ministro de Ambiente del Perú que ha estado al frente de todo el proceso, señaló: "He escuchado a cada uno de los grupos y tengo la absoluta seguridad de que con el texto que hemos decidido hoy, todos ganamos".