martes, 30 de diciembre de 2014

Oil again - Pétrole - Algérie & OPEP & Argelia - Petroleo

Oil prices have altered geo-politics the world over. Oil prices have had this power and the weight of Saudi Arabia has always been felt, especially since the oil crisis in the seventies. At that time, all major companies, whether directly linked to oil or not, were forced to reconsider their short, medium and long range plans. In fact, planning as such had to be readapted to a world which had changed for ever. Planners were baffled and so were governments.

What we face today is having a similar effect. Plans and budgets are in shambles. The Algerian plea [here bellow] is a dramatic example.

What we can do, from the modest scope of our blog is to monitor the moves and, to a very limited extent, try to anticipate some the consequences, especially with regard to our main concerns: Climate Change, Trade and Sustainable Development.

                                                       Mauricio López Dardaine



Pétrole : l'Algérie demande à l'Opep d'enrayer la chute des cours
ENERGIE
La fiscalité pétrolière représente 60% du budget de l'Etat algérien. 

Source : latribune.fr  le  28/12/2014
SUR LE MÊME SUJET
Le ministre algérien de l'Energie a demandé à l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dont son pays est membre, de réduire sa production pour enrayer la chute des cours, dans des propos cités dimanche par l'agence APS. "L'Opep doit intervenir pour corriger les déséquilibres en procédant à une coupe de sa production afin de faire remonter les prix et de défendre les revenus de ses pays membres", a déclaré Youcef Yousfi, dont le pays tire 95% de ses recettes extérieures de la vente de pétrole et de gaz.
L'Opep refuse jusqu'ici de réduire sa production
L'Arabie Saoudite, chef de file du cartel, et d'autres gros producteurs avaient prévenu la semaine dernière que l'Opep ne réduirait pas sa production même si les prix du brut tombaient à 20 dollars le baril. Youcef Yousfi a expliqué que l'Algérie ne partageait pas cette prise de position des principaux producteurs, qui craignent notamment qu'une réduction par l'Opep de sa production profite aux pays producteurs non membres du cartel. Les cours du pétrole ont perdu plus de la moitié de leur valeur depuis la mi-juin, passant de 115 dollars le baril à 55 sous l'effet conjugué de l'abondance de l'offre, du renforcement du dollar et de la faiblesse de la demande dans un contexte de ralentissement de l'économie mondiale.
La fiscalité pétrolière représente 60% du budget de l'Etat algérien
En Algérie, où la fiscalité pétrolière contribue pour 60% au budget de l'Etat, l'effondrement des cours du pétrole a contraint le gouvernement à adopter un premier train de mesures d'austérité, comme le gel du recrutement de fonctionnaires. Selon Youcef Yousfi, les prix du pétrole pourraient évoluer entre 60 et 70 dollars en 2015 avec une possibilité d'augmenter durant le quatrième trimestre et d'atteindre les 80 dollars en 2016.

Argelia pide a la OPEP que reduzca su producción para que suba el petróleo

La Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP) debe reducir la producción para que aumenten los precios y de esa forma defender los ingresos de sus integrantes, declaró el ministro argelino de Energía.

"La OPEP debe intervenir para corregir los desequilibrios procediendo a un corte de su producción para hacer subir los precios y defender los ingresos de sus miembros", dijo Yucef Yusfi, en declaraciones citadas por la agencia de prensa APS.

Argelia, país miembro de la OPEP, obtiene 95% de sus ingresos externos de las exportaciones de petróleo y gas.

La declaración argelina tiene lugar después de que Arabia Saudita, principal productor de la OPEP, anunciara la semana pasada que no iba a reducir su producción, incluso si el barril de petróleo se cotizaba a 20 dólares.


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