viernes, 24 de junio de 2016

Le Brexit vu de la France et d l'Argentine

Even before the polls were closed, Frenchmen had a series of doubts regarding a future with the UK no longer a EU Member Country. "Le Figaro" writes  about these questions citizens in France are asking themselves. The answers appear quite elusive; here, however, are some hints.


Mauricio López Dardaine



SOURCE: Le Figaro

Travail, visa, santé : les conséquences pratiques du Brexit

  • Par 


Le Royaume Uni a voté la sortie de l'UE
LE SCAN ÉCO - Alors que le Royaume-Uni a voté la sortie de l'UE, quelles sont les conséquences pratiques ? Faudra-t-il un visa pour partir en week-end à Londres ?Le Figaro vous donne des éléments de réponse.
Ils l'ont fait... Les Britanniques ont voté la sortie de l'Union Européenne. Quelles conséquences pour les Français et notamment ceux qui vivent au Royaume-Uni? En sachant qu'il ne se passera a priori rien ce vendredi. Selon l'article 50 du traité de Lisbonne, les négociations pourront durer jusqu'à deux ans.
Que va-t-il arriver aux Français travaillant au Royaume-Uni en cas de Brexit?
Quelque 300.000 Français vivent actuellement au Royaume-Uni. Aujourd'hui, un expatrié français n'a pas besoin de permis de travail pour pouvoir travailler outre-Manche. La possibilité d'un Brexit laisse ces expatriés dans le flou. Vont-ils devoir obtenir un permis pour pouvoir continuer à travailler? Y aura-t-il une différence entre les Français déjà présents au Royaume-Uni et ceux qui souhaitent s'y rendre? «Il n'y a pour l'instant aucune réponse concrète, résume Alexandre Terrasse, avocat associé au cabinet Edwin Coe. La logique suggérerait que les ressortissants déjà présents pourraient rester car ils sont créateurs de richesses pour le Royaume-Uni».
Deux hypothèses s'affrontent. Le Royaume-Uni pourrait appliquer la même règle à tous les pays et compliquer davantage les conditions d'entrée et de travail sur le territoire britannique. Dans ce cas, les expatriés devraient demander une carte de résidence. Autre possibilité: le Royaume-Uni formule des accords bilatéraux avec chaque pays. La France, partenaire commercial privilégié, pourrait alors bénéficier d'accords favorables. Cela signifie aussi que le Royaume-Uni pourrait, sur le papier, durcir certaines conditions envers des pays ciblés, et ainsi faire des différences entre ses partenaires. «Cela serait très difficile à faire passer, car cela pose des questions éthiques et politiques, nuance Alexandre Terrasse. On passerait à un discours discriminant, qui provoquerait certainement des frictions».
Quant à la situation des Britanniques expatriés dans un pays de l'Union européenne, la situation n'est pas claire non plus. «Tout dépendra de leur pays d'accueil, note l'avocat. Il y a environ deux millions de Britanniques à l'étranger». Un permis de travail pour les actifs britanniques vivant dans l'UE pourrait désormais être exigé.
Voyager au Royaume-Uni sera-t-il aussi facile?
Pour l'instant, les Français n'ont besoin que d'une carte d'identité pour rentrer dans le pays. Cette facilité d'accès pourrait disparaitre. «Encore une fois, la réponse à cette question n'est pas définie, précise Alexandre Terrasse. Les expatriés pourraient avoir besoin d'un visa touristique». Quant à savoir si les tarifs de l'Eurostar vont augmenter, là encore, la réponse est floue.
● Pour les Britanniques, quelles conséquences sur leurs voyages en Europe?
L'effet le plus immédiat et perceptible du Brexit devrait se faire sentir sur la liberté de déplacement des ressortissants britanniques au sein des autres pays de l'Union européenne. Si un simple document d'identité suffisait jusqu'à présent pour se déplacer au sein de l'espace Schengen, bien que le Royaume-Uni n'en soit pas membre, la sortie du pays du bloc des 28 devrait désormais s'accompagner de la nécessité pour les ressortissants britanniques de demander un visa en cas de voyage en Europe continentale. A l'heure actuelle, seuls 44 pays sur 219 imposent des visas à l'avance aux ressortissants britanniques.

NOTA de MLD: Como responsable de este blog debo ser cuidadoso al referirme a este momento tan delicado que viven nuestros amigos y colegas de la Unión Europea. Ahora bien, como ciudadano de la Argentina y el Mercosur, no puedo menos que preguntarme en qué medida ha de cambiar nuestro comercio con relación a uno de nuestros principales socios comerciales, la Unión Europea. Ayer, la Cámara de Exportadores de la República Argentina, a través de su presidente, ha expresado que nunca antes de dos años, recién en 2018, podría retomarse la negociación Mercosur-UE. Hemos reflejado en estas páginas los esfuerzos recientes de ambas Partes para re-encaminar la negociación. Inclusive,  comentábamos aquí mismo, hace dos o tres días que los representantes de las Partes se habían sentado en Montevideo para hablar sobre la carne vacuna, que había estado ¡desde 2004! fuera de la mesa de negociaciones. Está claro que si esta negociación parecía estar lejos de ser una de las prioridades de la UE ¿qué podemos esperar hoy cuando el Brexit ha puesto todo patas para arriba, si me permiten ustedes usar esta expresión muy casera? Así como la UE, y el Reino Unido, con su amenaza de secesión interna, deberán re-pensarse, más temprano que tarde, la Argentina y el Mercosur deberán acordar cómo  re-alinear su comercio, cosa que en rigor ya se venía discutiendo antes del Brexit. No creo que sea posible, prudente, ni siquiera útil, ensayar propuestas superadoras hasta que se disipe, en alguna medida, la onda expansiva que el voto de los ciudadanos británicos ha generado.

Según exportadores, el “Brexit” 

demora un acuerdo entre 

el Mercosur y la Unión Europea

Así lo indicó el presidente de la Cámara de Exportadores de la República Argentina, 
Enrique Mantilla. Estimó que "recién en el 2018 se podrá evaluar la posibilidad real 
de llegar a un acuerdo comercial”.


Por Agencia DyN
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El Presidente de la Cámara de Exportadores de la República Argentina (Cera), Enrique Mantilla, estimó que "recién en el 2018 se podrá evaluar la posibilidad real de llegar a un acuerdo comercial entre el Mercosur y la Unión Europea", tras la salida del Reino Unido del bloque comunitario. 
En un comunicado, Mantilla sostuvo que "el triunfo del populismo nacionalista en el Reino Unido al imponerse el Brexit apalancará los populismos en varios países europeos", al tiempo que enfatizó que "la Argentina tiene que construir su Estrategia Nacional Exportadora teniendo en cuenta estos hechos". 
"Es necesario tener un proyecto para actualizar al Mercosur que está teniendo dificultades en el funcionamiento de sus instituciones. La Cera ha presentado Proyectos al gobierno y espera que sean analizados y evaluados rápidamente", dijo Mantilla.
Finalmente, el directivo sostuvo que "vuelven a considerarse posibles consultas sobre la relación con la Unión Europea en Holanda, Finlandia y Dinamarca y apalanca los avances de los populismos en las elecciones del 2017 en Francia, Holanda y Alemania y si además triunfara Trump en las elecciones de EEUU de este año la situación del comercio internacional será más compleja".





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